Le 3ème numéro de Logic-Nation Magazine est sorti !

[oudini]

Hello Modigliano et un grand merci à toi pour ton soutien.

Je reste quand même sur ma fin avec le magazine car je suis extrêmement limité par de gros points de difficultés:

- je ne suis pas autorisé à mettre de la musique "déposée" (sinon il faut payer).
- je ne peux pas mettre la mienne parce que je ne suis "pas déposé" (sinon il faut que je paye).
etc..etc..

Ces histoires de droit sont une galère sans nom et j'irais même jusqu'à dire que c'est un frein pour les artistes car la SACEM ne protège pas elle collecte les droits de diffusion pour rétribuer les artistes. Mais si tu te fais piquer ta musique, bah grosso modo on est marron lol

[modigliano]

Salut Oudini,

Mon pote qui fait partie du C.A de la Sacem m'avait dit que si ton magazine est gratuit et que c'est ta propre musique, tu n'aurais rien à payer.
Mais bon... Le règlement de la grande institution est parfois étrange.  
J'ai moi aussi en ce moment même des coins obscurs au sujet de mes droits que je tente d'éclaircir...  et ce n'est pas forcément facile

[oudini]

Salut Oudini, Mon pote qui fait partie du C.A de la Sacem m'avait dit que si ton magazine est gratuit et que c'est ta propre musique, tu n'aurais rien à payer. Mais bon... Le règlement de la grande institution est parfois étrange.  

Oui c'est vrai d'ailleurs lorsque j'ai contacté la SACEM via leur formulaire de contact c'est ce que l'on m'a dit. Mais si je suis inscrit chez eux, alors ça n'est visiblement plus la même histoire ...

J'ai moi aussi en ce moment même des coins obscurs au sujet de mes droits que je tente d'éclaircir...  et ce n'est pas forcément facile

Je te souhaite bien du courage parce que mes maigres échanges m'ont donné à l'époque des nœuds au cerveau ...

Ce qui est regrettable c'est que cette institution reconnue n'ait pas adapté ses règles qui ne sont en phase avec le monde numérique réel. ça serait comme demander à un cabinet comptable de continuer de faire le boulot avec du papier et des crayons alors que le monde est à l'informatique 2.0